Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 8

  • "GILBERT GRAPE"

    Ce blog va bientôt fêté ses 7 ans d'existence, et je tente toujours (dans la mesure du possible...) de varier les sujets même si le thème principal reste bien entendu les fleurs sauvages et la nature. J'essaye de satisfaire le lecteur :-)

    Aujourd'hui, je vais donc parler, pour changer un peu... d'un film comme je les aime, un vieux film américain de 1993. "Gilbert Grape" a été réalisé par Lasse Hallström avec Leonardo DiCaprio, Johnny Depp et Juliette Lewis. DiCaprio, alors tout jeune, y est remarquable et a été nominé comme meilleur second rôle aux Oscars et aux Golden Globes pour ce film.

     

    158185GilbertGrape.jpg

     

    Je ne vais pas raconter l'histoire, elle est émouvante et originale de mon point de vue même si une partie de la presse a considéré qu'il y avait un peu trop de pathos. Et bien j'assume...

    J'ai revu ce film recemment grâce à un DVD. Il y a bien peu de films qui m'enthousiasment actuellement alors j'ai voulu faire partager mon plaisir. 

  • LA POLITIQUE ARTISTIQUE DU RECORD

    Le mois dernier, j'ai entendu à la radio le Directeur du nouveau Musée Picasso à Paris et je veux en parler ici pour changer un peu des fleurs sauvages, de Senlisse et des jardins remarquables. Un billet d'humeur en quelque sorte... 

     

    Monsieur Laurent Le Bon (l'ancien directeur du Centre Pompidou) se réjouissait, et très clairement se glorifiait du nombre d'entrées atteint, plus de 150 000, depuis la réouverture récente du musée Picasso. C'est ainsi et il en est très souvent de même pour beaucoup de grandes expositions nationales et certains musées qui attirent les foules. Certes, la qualité des oeuvres exposées est grande mais ce qui semble combler désormais les organisateurs, c'est avant tout le nombre d'entrées. On a même ouvert toute la nuit au cours des derniers jours de certaines expositions parisiennes pour en faire profiter les retardataires... et battre de nouveaux records. Qu'importe si le public doit attendre dehors de longues heures dans le froid ou la pluie pour entrer, et surtout qu'importe si une fois à l'intérieur, il y a tellement de monde qu'il peut à peine s'approcher des oeuvres exposées.

     

    En fait, cette politique du chiffre et du record n'est pas nouvelle. Depuis de nombreuses années déjà les grandes expositions sont lancées et gérées comme n'importe quel nouveau produit, avec un budget publicité et le concours des médias. Et les retombées financières ne sont pas négligeables, ce qui est une bonne chose mais pas forcément un but en matière d'art.

     

    Grand-Palais Paris.jpg

     

    La première fois qu'une grande exposition a attiré une foule énorme c'est, je crois, pour W. Tuner, le  peintre anglais de la lumière, au Grand palais à Paris. Il y a longtemps mais je me souviens avoir patienté plusieurs heures pour pouvoir enfin entrer et découvrir (ou plutôt apercevoir...) les oeuvres du Maître. J'étais alors plus jeune, heureux et un peu fier de faire partie des privilégiés qui allaient pouvoir en parler et dire : j'y étais :-))) Je dois cependant avouer que je n'avais pas vu grand chose tant l'affluence était grande.

     

    J'ai maintenant pris quelques années de plus... et je pense un peu différemment. Offrir au public de grandes expositions est certainement une bonne chose en soi, et qu'un grand nombre de personnes puisse en profiter est également enviable. Encore faut-il permettre à ce public d'admirer les oeuvres dans des conditions normales, et respecter les visiteurs.

     

    Aux dernières nouvelles, la fréquentation dans les musées parisiens aurait augmenté de 13 % en 2014 par rapport à l'année précédente. Le nombre n'a jamais été un critère de qualité, il me semble. 

     

  • LES CHENILLES PROCESSIONNAIRES DU PIN

    C'est à la fin de l'hiver ou au début du printemps qu'elles quittent les nids en procession pour s'enfouir dans le sol. Chaque chenille tisse alors un cocon et se transforme en papillon en juillet/août.

    Les oeufs sont groupés et déposés sous forme de manchons  qui entourent les aiguilles de pin avec éclosion 30 à 50 jours plus tard. Les nouvelles chenilles se regroupent ensuite en colonies et tissent  en commun des nids soyeux blancs très visibles dans les arbres.

    Et c'est ainsi que des forêts entières de pins peuvent être envahies avec défoliation et affaiblissement important conduisant à la mort des arbres.

    Et en plus, ces chenilles sont très dangereuses pour l'homme mais aussi pour nos amis les chats et les chiens qui souvent veulent jouer avec ou les manger. En effet, elles présentent des poils urticants qui sont reliés à une glande à venin.

     

    Free Image Hosting at www.ImageShack.us

     

    A bientôt...