En hiver, il suffit de mettre quelques graines en évidence pour que les oiseaux viennent immédiatement se servir...
mésange nonette
mésange bleue
mon préféré, le rouge-gorge
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En hiver, il suffit de mettre quelques graines en évidence pour que les oiseaux viennent immédiatement se servir...
mésange nonette
mésange bleue
mon préféré, le rouge-gorge
Joyeuses fêtes de fin d'année !
Encore quelques photos de cet automne aux couleurs magnifiques...
Et pour finir, retour par l'ancienne carrière des Maréchaux.
Une fois n'est pas coutume. Aujourd'hui, c'est un billet d'humeur, de mauvaise humeur !
Depuis des années, des habitants de Senlisse (et des communes environnantes) se plaignent du bruit engendré par CERTAINS motards qui se donnent rendez-vous aux Vaux de Cernay ou à Dampierre, et qui aiment, à cette occasion, faire vrombir leur moteur plus que nécessaire ou encore s'exercer à la vitesse, en ligne droite mais aussi dans les virages.
Des procès verbaux ont été dressés, des radars et des ralentisseurs installés, des panneaux de sensibilisation posés... mais rien de tout cela n'a eu vraiment d'effet. Les motards ont, parait-il, besoin de se défouler selon le Président de la Fédération des motards en colère (FFCM) (voir ICI).
Un nouveau type de radar, anti-bruit cette fois, a vu le jour en juillet dernier à Saint-Forget (pourquoi Saint-Forget ? pourquoi là ?). Il a été inauguré en présence des médias par notre député, les maires de la communauté de communes de la Haute Vallée de Chvreuse et l'Observatoire du bruit en Ile-de- France (Bruitparif). Il est en phase d'expérimentation... pour une période de 18 mois et ne verbalise donc pas.
Une fois le radar « Méduse » étalonné, il restera à créer une loi permettant de sanctionner : « Cela pourra être long, mais à terme, et une fois la technologie parfaitement au point, il faudra convertir l’expérimentation en dispositif légal et réglementaire », a expliqué notre député.
De qui se moque-t-on, avec ce nouveau gadget ? Les "vilains" motards ne risquent rien, ils vont poursuivre leurs jeux dangereux et bruyants pendant encore des années en toute tranquillité. Ils l'ont bien compris : Méduse n'a pas été vandalisé et est toujours en place...
Il y a dix ans, à la suite d'un séjour dans l'Allier, j'ai écrit (ICI) sur l'ambroisie à feuilles d'armoise, cette plante invasive et terriblement allergisante. Je me réjouissais alors que Senlisse, mon village, fût épargnée... Et depuis cette époque, elle n'a fait que se répandre et envahir petit à petit presque toute la France malgré tous les efforts pour l'éradiquer.
Hier, en désherbant le jardin, Miss B. a rencontré une plante qui ressemblait fort à l'ambroisie. Elle n'était pas encore en fleurs et il était donc difficile d'avoir une certitude mais je pense qu'il s'agit bien de cette plante au pollen tellement allergisant.
Comment est-elle arrivée là ? Lors d'une transplantation ? Avec les graines données aux oiseaux l'hiver dernier ? Bien entendu, je ne peux dire mais je crois en cette dernière hypothèse.
Fin de l'histoire : je ne verrai pas cette plante fleurir... car elle a été détruite immédiatement. Et le signalement sera effectué.
Les orchidées, paraît-il, représentent 10 % des fleurs du monde entier avec 20 000 espèces dont plus de 150 sur le territoire français métropolitain.
Certaines de ces espèces sont relativement répandues et on les trouve un peu partout : le long des routes, dans les prés, les fossés, les forêts, en plaine, en montagne... D'autres sont beaucoup plus rares, et protégées. Il ne faut donc pas les cueillir et encore moins vouloir les transplanter pour les mettre dans son jardin car elles dépériraient alors très vite.
Les orchidées sauvages ne sont pas identifiables à coup sûr, mais la fleur est toujours formée de trois sépales et trois pétales dont un très différent : le labelle qui est placé au centre et qui est un aire d'attérissage très attractif pour les insectes. Et j'ai photographié dans Senlisse, au milieu du village, un ophrys abeille, qui a été épargné volontairement par le "faucheur" du village. Merci Gilles !
Parmi les orchidées, les ophrys sont nombreux : ophrys bourdon, abeille, mouche, araignée... En fait, leur nom provient du fait qu'elles trompent leur monde. La plante joue l'insecte et l'insecte mâle, le vrai, confond une fleur avec sa femelle. Et hop, la pollinisation est faite. Quelle histoire !
Une fois la fleur fécondée, elle se dessèche, fane et ensuite les graines tombent sur le sol. Mais pour qu'il y ait germination, il faut alors l'intervention de champignons microscopiques qui vivent dans le sol et provoquent la multiplication des cellules. La germination intervient parfois plusieurs années avant de voir fleurir la plante. Les orchidées vivent donc en symbiose avec certains champignons. Elle est pas belle la vie ?
Au cours de la promenade, on découvre les remises à voitures, les grandes écuries, un étang de 7 hectares, un parc à l'anglaise, un parc forestier qui se visite en calèche, un petit pavillon datant de 1742 au bord de l'étang...
On trouve enfin un salon de thé et une boutique. Des animations sont prévues tout au long de l'année. On peut même pique-niquer.
L'intérieur du château ne sera ouvert au public que plus tard.
Après plusieurs années de fermeture, le domaine de Dampierre-en-Yvelines est à nouveau ouvert au public. Il était la propriété de la famille de Luynes depuis près de quatre siècles. Le nouveau propriétaire (un "roturier"), a décidé de redonner vie à cet ensemble... qui en avait bien besoin. Quelle bonne idée, mais quel travail !
Il y a bien entendu le château qui est l'oeuvre de l'architecte Jules Hardouin-Mansart (remanié au XIXème par Félix Duban) mais aussi des jardins à la française attribués à Le Nôtre, et un vaste parc forestier de près de 400 hectares.
Au cours de la promenade, on découvre les remises à voitures, les grandes écuries, un étang de 7 hectares, un parc à l'anglaise, un parc forestier qui se visite en calèche, un petit pavillon datant de 1742 au bord de l'étang...
Quelques photos supplémentaires la prochaine fois...