A bientôt.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
A bientôt.
J'ai déjà écrit plusieurs fois au sujet de ce cornouiller mâle et j'y reviens car cet arbuste est peu connu et original.
Il est aussi appelé Cornier, et a une première particularité, celle de fleurir en février/mars avant l'apparition des feuilles. Ses fleurs d'un beau jaune intense passent pourtant souvent inaperçues.
Ses fruits (août) sont des drupes rouges à maturité et bien peu de personnes les récoltent alors que bien mûres, elles peuvent (éventuellement...) servir pour faire des gelées ou des confitures. Il est vrai que beaucoup de baies rouges sont toxiques.
Alors... vous connaissiez ?
C'est une vivace que l'on trouve en montagne, comme son nom l'indique, entre 1000 et 2 000 m (et parfois plus), dans les prairies herbeuses souvent et quelquefois en lisière de forêts, alpages rocailleux, avec une tige simple (20 à 60 cm), non rameuse et des feuilles ovales, aiguës, avec des petits poils fins dessus, feutrées dessous. Il y avait du vent...
La floraison intervient de mai à juillet, fleurs solitaires au bout de chaque tige. Il y a deux sortes de fleurs sur le capitule : les externes, bleu et les fleurs violettes, au centre.
On l'appelle aussi bleuet des montagnes. Nombreux cultivars.
C'est une plante très variable, de la famille des violettes, annuelle ou bisannuelle, basse à petite (10 à 40 cm), qui fleurit de mai à septembre. Le fruit est une capsule.
Souvent tricolore d'où son nom latin viola tricolor (jaune, blanc, bleu/violet). Très commune dans toute l'Europe (bord des chemins, cultures, jachères...).
Elle est très recherchée pour son action dans les traitements de certaines affections cutanées et aurait des effets bénéfiques contre les maladies de la peau (acné, eczéma, psoriasis). Elle aurait aussi vertus sédatives.
Une plante toute mignonne, souvent rencontrée lors de balades en moyenne montagne !
On les trouve (nombreuses espèces) sur les sols salés du littoral marin et dans certaines prairies.
C'est une plante herbacée annuelle ou bisannuelle de la famille des oeillets, aux tiges grêles (10 à 30 cm), ramifiées, avec des poils glanduleux et des feuilles opposées.
La floraison intervient de juin à août, les pétales sont parfois teintés de blanc à la base et sont plus courts ou égalent les sépales. Les fruits sont des capsules globuleuses.
Ce grand chardon à un autre nom évocateur, le cabaret des oiseaux. La raison est amusante et simple : les feuilles de la tige sont soudées par leur base, formant un réceptacle qui retient l'eau de pluie.
Avec la sécheresse de cette année, la plante est parfois en difficulté et les feuilles souvent affaissées. Conséquence : les feuilles ne retiennent plus l'eau. Et en plus, la pluie est rare.
Je signale donc à mes amis les oiseaux que le cabaret n'est pas fermé mais qu'il n'y a plus rien à boire actuellement :-)
Quant aux abeilles, bourdons... rien de nouveau !
Et un petit bouquet avec des campanules sauvages.
Pour celles et ceux qui passent ici régulièrement... Et même pour les autres !
Elle a d'autres noms : plantain des Alpes (à cause de la forme lancéolée de ses feuilles), tabac des Vosges, tabac des Alpes...
Cette plante vivace toxique est cueillie à l'état sauvage car très demandée par les laboratoires pharmaceutiques (produits phytothérapeutiques et homéopathiques). Elle fait l'objet en conséquence de mesures de protection dans beaucoup de pays dont la France et elle devient rare. On la trouve principalement dans les pâturages de montagne.
La rencontre a eu lieu en moyenne montagne (800/1000 m), dans le Cantal, en juin dernier.