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Blog - Page 2

  • UNE COURGE D'HIVER : LA BUTTERCUP

    Les courges d’hiver se distinguent de leurs cousines d’été par leur goût plus sucré, leur parfum plus prononcé et leur chair moelleuse.

    Il y a de nombreuses courges, aux formes et couleurs différentes, à la chaire plus ou moins fibreuse ou sucrée, En général, au jardin, je me contente de semer au printemps des graines de potimarron mais l'an passé, j'ai voulu essayer une courge moins connue : la BUTTERCUP.

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    La peau est d’un vert foncé, et la chair semblable à la courge musquée, c’est-à-dire orangée, compacte, très tendre, sucrée et pas du tout filamenteuse. La courge Buttercup trouve sa place dans les gratins, les potages, les purées ou en compagnie de pommes de terre. Idéalement, il faut la consommer dans les deux mois suivants la récolte et elle se conserve en général très bien.

    Et si l'on fait pousser côte à côte potimarron et butercup, voilà ce qui peut arriver... avec des pollinisations imprévues.

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    Attention ! Toutes les courges ne sont pas comestibles et consommées trop mûres elles peuvent provoquer chez certains des troubles digestifs voire d'alopécie (chute des cheveux). On doit cette découverte au Dr Philippe Assouly, dermatologue à l’hôpital Saint-Louis de Paris. La responsable serait probablement l'abeille. Comment s'en préserver ? C'est l'amertume qui doit alerter et il faut donc goûter avant de consommer.

     

  • Ce n'était pas la jussie.

    Encore une plante invasive dans les cours d'eau de Bretagne !

    J'étais la semaine dernière dans la région de Lorient et j'ai remarqué que les rives du Blavet étaient envahies par une plante invasive et inconnue de moi. Ce n'était pas la jussie. Après une petite recherche sur internet, j'ai trouvé la responsable : il s'agit de l'hydrocotyle fausse renoncule.

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    C'est une vivace rampante, tapissante, ses feuilles arrondies ressemblent un peu à celles du trèfle. Les fleurs sont blanches, petites et peu visibles.

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    Venue d'Amérique du Nord, elle a été sans doute introduite à partir d'aquariums de particuliers. Elle est apparue en 2015 mais elle prolifère particulièrement cette année, peut-être à cause de la sécheresse et du plus faible niveau d'eau dans le Blavet.

    L'arrachage manuel puis mécanique n'a pas eu d'effet et est coûteux. Alors que faire ?
     
  • SENLISSE, ET LE BRUIT... DE CERTAINS MOTARDS.

    Une fois n'est pas coutume. Aujourd'hui, c'est un billet d'humeur, de mauvaise humeur !

    Depuis des années, des habitants de Senlisse (et des communes environnantes) se plaignent du bruit engendré par CERTAINS motards qui se donnent rendez-vous aux Vaux de Cernay ou à Dampierre, et qui aiment, à cette occasion, faire vrombir leur moteur plus que nécessaire ou encore s'exercer à la vitesse, en ligne droite mais aussi dans les virages.

    Des procès verbaux ont été dressés, des radars et des ralentisseurs installés, des panneaux de sensibilisation posés... mais rien de tout cela n'a eu vraiment d'effet. Les motards ont, parait-il, besoin de se défouler selon le Président de la Fédération des motards en colère (FFCM) (voir ICI).

    Un nouveau type de radar, anti-bruit cette fois, a vu le jour en juillet dernier à Saint-Forget (pourquoi Saint-Forget ? pourquoi là ?). Il a été inauguré en présence des médias par notre député, les maires de la communauté de communes de la Haute Vallée de Chvreuse et l'Observatoire du bruit en Ile-de- France (Bruitparif). Il est en phase d'expérimentation... pour une période de 18 mois et ne verbalise donc pas.

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    Une fois le radar « Méduse » étalonné, il restera à créer une loi permettant de sanctionner : « Cela pourra être long, mais à terme, et une fois la technologie parfaitement au point, il faudra convertir l’expérimentation en dispositif légal et réglementaire », a expliqué notre député.

    De qui se moque-t-on, avec ce nouveau gadget ? Les "vilains" motards ne risquent rien, ils vont poursuivre leurs jeux dangereux et bruyants pendant encore des années en toute tranquillité. Ils l'ont bien compris : Méduse n'a pas été vandalisé et est toujours en place...

     

  • L'AMBROISIE A SENLISSE

    Il y a dix ans, à la suite d'un séjour dans l'Allier, j'ai écrit (ICI) sur l'ambroisie à feuilles d'armoise, cette plante invasive et terriblement allergisante. Je me réjouissais alors que Senlisse, mon village, fût épargnée... Et depuis cette époque, elle n'a fait que se répandre et envahir petit à petit presque toute la France malgré tous les efforts pour l'éradiquer. 

    Hier, en désherbant le jardin, Miss B. a rencontré une plante qui ressemblait fort à l'ambroisie. Elle n'était pas encore en fleurs et il était donc difficile d'avoir une certitude mais je pense qu'il s'agit bien de cette plante au pollen tellement allergisant. 

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    Comment est-elle arrivée là ? Lors d'une transplantation ? Avec les graines données aux oiseaux l'hiver dernier ? Bien entendu, je ne peux dire mais je crois en cette dernière hypothèse. 

    Fin de l'histoire : je ne verrai pas cette plante fleurir... car elle  a été détruite immédiatement. Et le signalement sera effectué.

  • PREMIER SEMIS DE TOMATES

    Cette année, j'ai décidé de semer dès janvier, à l'intérieur de la maison, mes premiers semis de tomates. De cette manière, j'espère que la fructification interviendra pas trop tard en saison car début septembre la maladie fait en général des ravages.

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    C'est surtout à cause de ma tomate préférée, la cornue des Andes, tardive dans ma région et mon jardin qui manquent parfois un peu de soleil.

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    J'ai aussi semé quelques graines de la tomate Rose de Berne, savoureuse et très juteuse, qui avait parfaitement réussie l'an passé.

    Enfin, pour essayer, j'ai acheté par internet quelques graines d'une tomate peu connue et réputée (parait-il...) pour sa grande précocité, la Sub Artic Plenty.

    J'en reparlerai, si l'expérience s'avère concluante :-)