Une photo exceptionnelle de mon "correspondant très particulier" au Japon... que j'aime (la photo, et mon correspondant aussi). Salut fils !!!
(photo Bertrand P.)
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Une photo exceptionnelle de mon "correspondant très particulier" au Japon... que j'aime (la photo, et mon correspondant aussi). Salut fils !!!
(photo Bertrand P.)
De nos jours, il n'est plus guère cultivé et ce que l'on trouve sur le marchés, c'est plutôt la scorsonère.
J'ai rencontré ce salsifis cultivé en juin, à l'état sauvage dans les grands marais à l'embouchure de la Loire (du côté Paimboeuf). J'ai été étonné par la couleur de sa fleur (violette) qui diffère de celle du salsifis des prés, le vrai salsifis sauvage, dont la fleur est jaune.
J'ai déjà écrit ICI au sujet du salsifis des prés. C'était en 2008... comme le temps passe !
Une fois n'est pas coutume, je présente aujourd'hhui un petit papillon blanc tout à fait original avec ses ailes en plumeaux et ses pattes qui ressemblent à des branches.
Etant donné sa petite taille, c'est la première fois que je le remarque dans mon jardin.
J'ai vu sur Internet qu'il est présent de mai à septembre et se nourrit principalement de liseron. Il était aux alentours (et oui... il y a du liseron dans mon jardin).
Son nom vernaculaire est "petit ange de nuit". C'est mignon.
Plus de détails ICI.
J'ai eu beaucoup de mal à l'identifier celle-là ! Et j'ai même fait appel, pour me venir en aide, au forum d'un site tout à fait intéressant et pratique que je connais de longue date, "Plantes sauvages".
Je vais donner le nom savant, pour les puristes, de cette plante rencontrée au bord de l'océan, dans le sable d'un chemin à la pointe Saint Gildas (Loire-Atlantique), au début du mois de juin. C'est parentucellia viscose.
C'est une espèce assez rare que l'on trouve dans les endroits sablonneux, humides, herbeux, dans l'Ouest, le Midi, et le Centre. Elle mesure 10 à 60 cm et fleurit de juin à septembre.
Inflorescence en grappe allongée, fleur avec lèvre supérieure en casque et lèvre inférieure trilobée. Le fruit est une capsule à 2 loges.
Mon grand-père paternel a probablement habité cette maison au siècle dernier, dans les années 20.
Il était alors contremaître et employé par la ville de Paris qui exploitait la carrière des Maréchaux à Senlisse d'où l'on extrayait le grès nécessaire au pavage des rues de la capitale. L'exploitation de cette carrière cessa en 193O et mon grand-père décida alors d'acheter une maison dans le village de Senlisse, dont il devint maire plus tard et ce jusqu'à sa mort en 1952. J'habite maintenant cette maison depuis exactement 40 ans.
Une page se tourne ou plus exactement une maison en ruine va bientôt totalement s'écrouler. Ca fait drôle de penser à tout ce passé... Le mot "drôle" est vraiment inapproprié.
Au fait, à qui appartient-elle cette maison dans les bois ? Office National des Forêts ?
L'autre nom vernaculaire de cette Reine des bois, c'est Barbe de bouc. Ne pas confondre avec la Reine des champs (c'est ICI) qui est de la même famille et qui lui ressemble... un peu.
Le nom latin de la Reine des bois de mes photos est aruncus dioicus.
La Barbe de Bouc est une vivace graphique, aux grandes et longues inflorescences blanches que l'on trouve principalement dans les fonds de massifs sombres et frais, en moyenne montagne (Jura).
C'est une plante touffue, gracieuse, sur de hautes tiges avec des grandes feuilles lancéolées. Floraison en juin (plante dioïque). Les inflorescences mâles sont blanc crème, alors que les femelles sont jaune/verdâtre, pendantes, plus volumineuses et il faut le dire... plutôt moins belles :-)
Enfin, il existe une autre Reine des bois (ou aspérule odorante) mais de la famille des rubiacées (Gallium odoratum). C'est ICI.
Voici quelques photos n'ayant aucun rapport avec les fleurs sauvages, mais que j'aime bien.
Et puis, il faut bien varier un peu les plaisirs de temps en temps :-)
Le modernisme a aussi ses avantages !