Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

FLORE DE SENLISSE - Page 7

  • LES MORILLONS DE SENLISSE

    En avril, c'est habituellement le mois des morilles mais elles sont souvent capricieuses... et en plus, les trouver n'est pas chose facile même si elles reviennent souvent pousser aux mêmes endroits.

    morilles.jpg

    Une bonne vue est indispensable et surtout une attention de tous les instants car les distinguer parmi les feuilles mortes relève parfois de l'exploit.

    morilles 2.jpg

    On les trouve curieusement dans les friches, les chantiers, les remblais, les endroits où la terre à été remuée ou aussi au contact de vieux journaux,les sites d'incendie ou de feu, sous les frênes, les lilas, les résineux, dans les zones humides ou inondées, le bord des rivières... et surtout là où on ne les attend pas. Et c'est alors la suprême surprise !

    Attention. les morilles crues sont TOXIQUES. Même cuites, absorbées en grande quantité, elles peuvent provoquer des intoxications alimentaires.

    morilles 1.jpg

  • LES JARDINS DE LA BALLUE (FIN)

    Encore quelques photos de ce "Jardin Remarquable"... 

    La Ballue 5.jpg

    C'était fin mars dernier, c'est à dire tôt en saison, donc peu de fleurs. Cependant, une clématite amandii d'un beau blanc (précoce) et un camélia.

    La Ballue 6.jpg

    Un passage très étroit... 

    La Ballue 7.jpg

    Le jardin de topiaires, de buis, d'ifs et de houx taillés en boules, en cubes, en cônes, en spirales.

    La Ballue 8.jpg

    Un espace différent et naturel...

    La Ballue 9.jpg

    Et pour finir, les premières fleurs d'un arbuste inconnu (de moi) : un citronnier épineux. 

  • LES JARDINS DE LA BALLUE (ET SON CHATEAU)

    Encore un "Jardin Remarquable" à ajouter à ma liste des beaux jardins visités... Celui-ci est situé à quelques kilomètres au sud du Mont Saint Michel.

    La Ballue.jpg

    Quant au château, il a été construit en 1620. Il accueillit Victor Hugo, Balzac et Châteaubriand vanta la beauté de ses jardins... recréés aujourd'hui dans un esprit intimiste et original.

     

    La Ballue 1.jpg

    La Ballue 4.jpg

    Abandonnés pendant plus de 30 ans, les jardins revivent depuis 1996 dans un esprit théâtral, juxtaposant le classique au baroque. C'est un mélange avec des surprises, des curiosités, des découvertes...  

     La Ballue 3.jpg

    La Ballue 5.jpg

    La Ballue 6.jpg

    Les jardins et l'ensemble du site sont inscrits aux Monuments Historiques depuis 1998. 

  • L'ANEMONE DES BOIS (OU ANEMONE SYLVIE)

    Cette renonculacée est une plante vivace commune dans les sous-bois frais et humides. On la trouve également dans les jardins en tant que couvre-sol des zones ombragées ne laissant alors aucune chance aux adventices à cause de ses rhizomes denses.

    anémone sylvie 1.jpg

    Les fleurs (mars/avril), blanches, teintées parfois de rose, simples mais belles (sur une tige verticale non ramifiée) portent 6 tépales (parfois plus). Elles suivent la course du soleil du matin jusqu'au soir. Les fruits sont des akènes.

    anémone sylvie 2.jpg

    Plante toxique comme toutes les renonculacées.   

     

     

  • COGNASSIER DU JAPON (rosacées)

    Encore un arbuste décoratif avec ses fleurs d'un beau rouge vif qui apparaissent tôt dans la saison, de mars à avril, pratiquement en même temps que ses feuilles.

    cognassier du japon.jpg

    Tout comme l'ajonc d'Europe,  il sait aussi se défendre avec ses épines acérées.

    Ses fruits (non comestibles crus) ressemblent un peu à des coings ce qui le différencie du pommier du Japon dont les fruits sont des petites pommes.

  • L'AJONC D'EUROPE (fabacées)

    On reconnaît facilement cet arbuste (1 m à 2,50 m) aux belles fleurs jaunes parfumées lesquelles sont largement butinées par les abeilles. Il fleurit parfois presque toute l'année et le plus souvent très tôt en saison (février/mars). Par ailleurs, ses rameaux sont couverts d'épines robustes, et il est fréquent à l'état sauvage (notamment dans les landes de l'Ouest de la France, le Centre) et dans les haies défensives. 

    ajonc d'Europe.jpg

    Les tiges sont très ramifiées sur toute leur longueur et tous les rameaux, principaux comme latéraux, sont transformés en épines acérées. Quant aux feuilles, elles sont aussi également transformées en épines.  L’ensemble confère ainsi à l’arbuste un port en touffe dense hérissée d’épines et particulièrement impénétrable.

    Les fruits sont des  gousses couvertes d'une pilosité abondante. Par temps sec et à maturuté, elles éclatent et libèrent des graines très appréciées des fourmis qui les transportent jusqu'au nid, consomment une partie de ces graines et rejettent le reste des graines qui donnent ainsi naissance à de nouveaux ajoncs plus ou moins éloignés du pied d'origine. Ces fruits sont toxiques. 

    Ne pas confondre avec les genêts qui eux, ne sont pas hérissés de piquants.

     

  • PREMIER SEMIS DE TOMATES

    Cette année, j'ai décidé de semer dès janvier, à l'intérieur de la maison, mes premiers semis de tomates. De cette manière, j'espère que la fructification interviendra pas trop tard en saison car début septembre la maladie fait en général des ravages.

    tomates.jpg

    C'est surtout à cause de ma tomate préférée, la cornue des Andes, tardive dans ma région et mon jardin qui manquent parfois un peu de soleil.

    semis tomates 2.jpg

    J'ai aussi semé quelques graines de la tomate Rose de Berne, savoureuse et très juteuse, qui avait parfaitement réussie l'an passé.

    Enfin, pour essayer, j'ai acheté par internet quelques graines d'une tomate peu connue et réputée (parait-il...) pour sa grande précocité, la Sub Artic Plenty.

    J'en reparlerai, si l'expérience s'avère concluante :-)

  • LES FLEURS DU NOISETIER

    Le noisetier (ou coudrier) est un arbrisseau original...

    Sa floraison est très précoce car elle intervient en plein hiver, de janvier à mars. Les fleurs unisexuées sont réunies en inflorescences. Les f. mâles apparaissent à la base des rameaux de l'année, par groupes de plusieurs chatons bien visibles (4 à 6 cm de long), pendants et jaunes, et connues de tous.

    _noisetier fleur mâle.jpg

    Quant aux f.femelles, elles sont beaucoup plus petites, discrètes et passent souvent inaperçues. Cependant, à bien regarder, on peut voir des stigmates rouges, dressés et sessiles.

    noisetier fleur femelle.jpg

    Attention, risque de pollen allergisant.